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Je conçois et anime des formations qui minimisent leur empreinte écologique — en choisissant des lieux, des supports, des mobilités et des pratiques sobres — tout en transformant chaque session en démonstration concrète des solutions durables.

*« I9 — Planifier et mettre en œuvre les ressources en personnel et en matériel de façon durable » — Dimension environnementale*

Cette dimension consiste à réduire l’impact environnemental de la formation tout en l’utilisant comme levier d’éducation à la transition écologique. Elle s’appuie sur les recommandations de éducation21, de l’OFEV, de la Stratégie énergétique 2050 et des travaux de la HEP Vaud (Berger & Pellaud). Elle repose sur trois principes :

• 1. Sobriété : minimiser les ressources utilisées (numérique, matériel, énergie),
• 2. Éco-gestion : choisir des lieux, mobilités et fournitures durables,
• 3. Sensibilisation : intégrer les enjeux écologiques dans le contenu et les pratiques.

*Exemple : “Dans cette dimension, je ne me contente pas de parler du climat — je le vis. Je choisis un lieu accessible en transports publics, j’utilise des supports numériques sobres, je propose une restauration locale et végétarienne, et j’encourage le tri et l’économie d’énergie. Chaque choix est une leçon vivante — parce qu’une formation durable ne se contente pas d’enseigner la transition — elle l’incarne.”*

 * Minimiser l’empreinte écologique de la formation (carbone, eau, déchets, numérique)  * Choisir des lieux, mobilités et fournitures alignées avec les principes de l’économie circulaire et de la sobriété  * Intégrer les enjeux environnementaux dans les contenus et les pratiques pédagogiques  * Sensibiliser les participants aux éco-gestes et à l’impact du numérique  * Utiliser des méthodes pédagogiques low-tech et du matériel réutilisable  * Former aux métiers de la transition écologique (ODD 7, 12, 13)  * Transformer la formation en démonstration concrète des solutions durables

Cette dimension est essentielle car elle permet de concilier apprentissage et responsabilité écologique — en évitant que la formation elle-même ne contredise les principes qu’elle enseigne. Elle transforme la logistique en pédagogie vivante, où chaque choix (lieu, support, repas) devient une occasion d’apprendre, de réfléchir et d’agir.

*“Maîtriser cette dimension, c’est devenir un·e formateur·ice qui sait que l’écologie ne s’ajoute pas à la formation — elle la traverse, la structure, et la rend crédible.”*

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